DSC_6685
Fredrich mon ami,
Mon ami, avant de partir,
Pour les limbes de la raison,
Glisse-moi douce oraison,
Pour de moi n’être point martyr.
Tant qu’il te reste le soleil,
Dans le néant qui vient poindre,
Moi, je ne veux rejoindre,
Le crucifié comme sommeil.
Même si déjà tu tombes,
Dionysos sur les genoux,
Du pavé, l’âme en remous,
Juste d’une voie féconde.
Aide-moi juste une fois,
Pour danser un dithyrambe,
Loin de ma raison qui flambe,
Pour rester le cœur sur la voie.
Michaël Overberg
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Fredrich mon ami,
Mon ami, avant de partir,
Pour les limbes de la raison,
Glisse-moi douce oraison,
Pour de moi n’être point martyr.
Tant qu’il te reste le soleil,
Dans le néant qui vient poindre,
Moi, je ne veux rejoindre,
Le crucifié comme sommeil.
Même si déjà tu tombes,
Dionysos sur les genoux,
Du pavé, l’âme en remous,
Juste d’une voie féconde.
Aide-moi juste une fois,
Pour danser un dithyrambe,
Loin de ma raison qui flambe,
Pour rester le cœur sur la voie.
Michaël Overberg