DSC_4099
Je suis bien monté…
Mon pas lourd comme mes pensées,
Frappe l’escalier d’une vie,
Où déjà le temps me convie,
À panser mes printemps dansés.
Chaque marche, gagne la fin,
Dès lors pourquoi avancer là,
Toi qui redoute l’au-delà,
Dans ce triste temps assassin.
La durée est comme le jour,
Le soleil monte dans le ciel,
Le temps n’est pas existentiel,
Il ne s’arrête sans nul retour.
Quelques marches, il te reste,
Réfléchis encore au bonheur,
De tes heures devient le seigneur,
Avant le repos céleste.
Michaël Overberg
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Je suis bien monté…
Mon pas lourd comme mes pensées,
Frappe l’escalier d’une vie,
Où déjà le temps me convie,
À panser mes printemps dansés.
Chaque marche, gagne la fin,
Dès lors pourquoi avancer là,
Toi qui redoute l’au-delà,
Dans ce triste temps assassin.
La durée est comme le jour,
Le soleil monte dans le ciel,
Le temps n’est pas existentiel,
Il ne s’arrête sans nul retour.
Quelques marches, il te reste,
Réfléchis encore au bonheur,
De tes heures devient le seigneur,
Avant le repos céleste.
Michaël Overberg