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Alors regarde.

 

Si les yeux sont le reflet d’âme,

J’invite à lire dans mon regard,

Ici où toutes mes pensées s’égarent,

S’oublient au sein d’un trou noir infâme.

 

Combien de désillusions, de prisons,

Pour moi qui espérait être libre,

Mais non ! Ma vie est un équilibre,

Entre tant de temps mort et de passions.

 

L’intrication quantique repose,

Dans les trouées de mon immanence

Au détour du trou de ver de faïence,

Où la lumière enfin se pose.

 

Souvent mon art repose multivers,

Derrière un sourire de façade,

Se cache une peine en croisade,

Qui courbe le temps dans mon univers.

 

Avant d’avoir un jugement amer,

Que ta pique ne soit une vipère,

Sur mon œuvre non terre à terre,

Qui voyage en espace volontaire.

 

Regarde par le prisme de l’esprit,

Qui illumine la riche raison,

Des hommes en idées de floraison,

Qui gagnent vers le soleil sans mépris.

 

Au lieu d’être dans ton petit monde,

Balance tes idées vers l’espace,

Peu importe d’un astre la place,

Tant qu’au cœur une lueur inonde.

 

Michaël Overberg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Done