DSC_4939
Je fulmine enfumé
Ma raison est trop lucide,
Pour penser dans les nuages,
Ma psyché ne vit sage,
Dans votre monde acide.
Rien ici n’est joie éthérée,
Toujours et toujours vos idées,
Comme masse d’absurdité,
Votre cerveau traîne altéré.
Céans, mon esprit explose,
Telle l’ogive nucléaire,
Qui rase vos visions grégaires,
Les gens sont une nécrose.
Parfois j’aimerais m’enfumer,
D’une existence en bonheur,
Vivre dans la bonne humeur,
Dans la vie de fleures parfumées.
Mais impossible ci et là,
A chaque pas, amer humain,
Me bouche le libre chemin,
A quoi bon m’imposer cela.
Michaël Overberg
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Je fulmine enfumé
Ma raison est trop lucide,
Pour penser dans les nuages,
Ma psyché ne vit sage,
Dans votre monde acide.
Rien ici n’est joie éthérée,
Toujours et toujours vos idées,
Comme masse d’absurdité,
Votre cerveau traîne altéré.
Céans, mon esprit explose,
Telle l’ogive nucléaire,
Qui rase vos visions grégaires,
Les gens sont une nécrose.
Parfois j’aimerais m’enfumer,
D’une existence en bonheur,
Vivre dans la bonne humeur,
Dans la vie de fleures parfumées.
Mais impossible ci et là,
A chaque pas, amer humain,
Me bouche le libre chemin,
A quoi bon m’imposer cela.
Michaël Overberg