DSC_3323
Être folâtre...
Chers hommes, ne jugez pas la folie,
La folie ouvre une fenêtre,
Sur un monde où l’art pénètre,
Au sein de l’âme avec euphorie.
Nul ne peut juger une approche,
Nul ne peut juger une création,
L’art repose sur une idéation,
Qui es-tu pour darder un reproche ?
La folie nourrit la réalité,
Dans son giron, je me sens traversé,
De cent feux aux chemins de traverse,
C’est ce monde-là, ma finalité.
Les êtres communs sont pathétiques,
Il faut voguer dans les sphères de l’esprit,
Même si souvent, tu es incompris,
Dans l’univers, il n’y a pas d’éthique.
Michaël Overberg
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Être folâtre...
Chers hommes, ne jugez pas la folie,
La folie ouvre une fenêtre,
Sur un monde où l’art pénètre,
Au sein de l’âme avec euphorie.
Nul ne peut juger une approche,
Nul ne peut juger une création,
L’art repose sur une idéation,
Qui es-tu pour darder un reproche ?
La folie nourrit la réalité,
Dans son giron, je me sens traversé,
De cent feux aux chemins de traverse,
C’est ce monde-là, ma finalité.
Les êtres communs sont pathétiques,
Il faut voguer dans les sphères de l’esprit,
Même si souvent, tu es incompris,
Dans l’univers, il n’y a pas d’éthique.
Michaël Overberg