DSC_3288
Le cadre,
Mes idées, mon art, ma raison se bousculent,
Rien ne reste en place, mon être se déplace,
De soleil de vie, en mort en crépuscule,
Comme une lame de fond, mes photos font surface.
Dans ce cadre, je n’y puis plus de survivre
En dithyrambe, ma fauve psyché sombre,
Dans la prison de vivre l’art me délivre,
De noir et blanc, mon cœur perce la pénombre.
Je crie, je vis, je bouge, je suis enfin vivant,
La création, mon ikigai en ce monde.
Même si je vous lance mon style divisant,
Le creuset de ma frénésie est féconde.
C’est vrai parfois, je plonge, je sors des sphères,
Mais n’est-ce pas le plus riche des voyages ?
De parcourir d’un regard curieux les enfers,
Pour rallier notre être en personne sage.
Mon cadre se tient à mille lieux du diable,
Ma folie vole comme un ballon d’hélium,
Loin de l’humain et de ses tartuffes fables.
Je suis juste, une âme en peine , un homme.
Michaël Overberg
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Le cadre,
Mes idées, mon art, ma raison se bousculent,
Rien ne reste en place, mon être se déplace,
De soleil de vie, en mort en crépuscule,
Comme une lame de fond, mes photos font surface.
Dans ce cadre, je n’y puis plus de survivre
En dithyrambe, ma fauve psyché sombre,
Dans la prison de vivre l’art me délivre,
De noir et blanc, mon cœur perce la pénombre.
Je crie, je vis, je bouge, je suis enfin vivant,
La création, mon ikigai en ce monde.
Même si je vous lance mon style divisant,
Le creuset de ma frénésie est féconde.
C’est vrai parfois, je plonge, je sors des sphères,
Mais n’est-ce pas le plus riche des voyages ?
De parcourir d’un regard curieux les enfers,
Pour rallier notre être en personne sage.
Mon cadre se tient à mille lieux du diable,
Ma folie vole comme un ballon d’hélium,
Loin de l’humain et de ses tartuffes fables.
Je suis juste, une âme en peine , un homme.
Michaël Overberg