DSC_8137
Soleil d’espoir d’automne
La soleil d’automne est triste déjà,
Saison en soie de mille couleurs,
Les dernières raies de vie se meurent,
Sur l’humus au repos de mon corps las.
Belle automne, tu dessines l’apogée,
D’un printemps, de jets d’idées perdues,
D’une raison d’été arborée,
Bientôt l’hiver, en âme éperdue.
Je ne suis pas le Phénix de ces bois,
Le coeur en lumière, juste dans l’espoir,
Que la feuille de ma vie encore tutoie,
De petits bonheurs, sans désespoir.
Les feuilles tombent, paupière fanées,
Sur le sol froid qui déjà m’attend,
Que reste-t-il après le flamboiement,
Juste la fin d’une tombe satanée.
Le temps m’est compté, jusqu’à la lie,
La sève nectar de ma jeunesse,
N’est plus ce miel sucré en obvie,
Juste un doux vin, mon être en sagesse.
Lors de mon dernière envol, sous le vent,
J’aimerai, me poser sans nulle idée,
Juste dans le calme, juste dans l’ instant.
Et me dire que ma vie est orchidée.
Michaël Overberg
DSC_8137
Soleil d’espoir d’automne
La soleil d’automne est triste déjà,
Saison en soie de mille couleurs,
Les dernières raies de vie se meurent,
Sur l’humus au repos de mon corps las.
Belle automne, tu dessines l’apogée,
D’un printemps, de jets d’idées perdues,
D’une raison d’été arborée,
Bientôt l’hiver, en âme éperdue.
Je ne suis pas le Phénix de ces bois,
Le coeur en lumière, juste dans l’espoir,
Que la feuille de ma vie encore tutoie,
De petits bonheurs, sans désespoir.
Les feuilles tombent, paupière fanées,
Sur le sol froid qui déjà m’attend,
Que reste-t-il après le flamboiement,
Juste la fin d’une tombe satanée.
Le temps m’est compté, jusqu’à la lie,
La sève nectar de ma jeunesse,
N’est plus ce miel sucré en obvie,
Juste un doux vin, mon être en sagesse.
Lors de mon dernière envol, sous le vent,
J’aimerai, me poser sans nulle idée,
Juste dans le calme, juste dans l’ instant.
Et me dire que ma vie est orchidée.
Michaël Overberg