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Le temps c’est toi...
Ô temps, clepsydre de mon moi,
Ton souffle de mort s’écoule,
Chaque seconde sans émoi,
Tu déferles telle la houle,
Sur nos espoirs et nos rêves,
Fais, vite ta lumière homme,
Car son néant n’a de trêve,
Chaque heure est pandémonium,
Ta riche vie est bien brève.
A la fin du temps ici-bas,
Homme, tu feras ta balance,
De tes chagrins, triste trépas,
De tes bonheurs qui lancent,
Un parfum de suffisance,
D’une vie que tu voudrais,
Sans fin avec pétulance,
Mais le spectre a son fleuret,
Qui va piquer en ton cœur,
Tes regrets en achèvement,
Ton dasein est en rancœur,
Essaye de chaque moment,
De tendre en hédonisme,
Tes larmes en évitement
L’ataraxie n’est un truisme
Elle se gagne de tout temps
Le Temps de vie est un état,
Du psyché en résilience,
Gagne de rires en prorata,
Ton âme est abondance.
Michaël Overberg
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Le temps c’est toi...
Ô temps, clepsydre de mon moi,
Ton souffle de mort s’écoule,
Chaque seconde sans émoi,
Tu déferles telle la houle,
Sur nos espoirs et nos rêves,
Fais, vite ta lumière homme,
Car son néant n’a de trêve,
Chaque heure est pandémonium,
Ta riche vie est bien brève.
A la fin du temps ici-bas,
Homme, tu feras ta balance,
De tes chagrins, triste trépas,
De tes bonheurs qui lancent,
Un parfum de suffisance,
D’une vie que tu voudrais,
Sans fin avec pétulance,
Mais le spectre a son fleuret,
Qui va piquer en ton cœur,
Tes regrets en achèvement,
Ton dasein est en rancœur,
Essaye de chaque moment,
De tendre en hédonisme,
Tes larmes en évitement
L’ataraxie n’est un truisme
Elle se gagne de tout temps
Le Temps de vie est un état,
Du psyché en résilience,
Gagne de rires en prorata,
Ton âme est abondance.
Michaël Overberg