DSC_7762
Conjonction des êtres
L’envie, le rêve d’amitié,
S’étouffe dans la vie présente,
Par la peur d’une inimitié,
Félonie omniprésente…
La solitude comme antre,
De ma chaleur immanente
La paix de l’âme est ce chantre,
D’ataraxie permanente.
Bien loin de moi une rancœur,
Pour l’entier de l’affluence,
L’antinomie de nos cœurs,
Sans plus aucune influence.
Nos pensées en parallèle,
Nos chemins de vie contigus,
Homo demens parentèle,
Même recherche du bonheur aigu.
Pourtant pour vous plus facile,
De juger que de comprendre,
Démarche bien plus docile,
De votre raison de tendre,
Vers la riche compréhension,
D’un schème de psyché complexe,
Sans aucune mauvaise attention,
Pour qui veut rien n’est implexe.
Juste concéder de s’ouvrir,
Voyage de la tolérance,
De toute idée sans appauvrir,
Lié enfin sans souffrance.
Michaël Overberg
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Conjonction des êtres
L’envie, le rêve d’amitié,
S’étouffe dans la vie présente,
Par la peur d’une inimitié,
Félonie omniprésente…
La solitude comme antre,
De ma chaleur immanente
La paix de l’âme est ce chantre,
D’ataraxie permanente.
Bien loin de moi une rancœur,
Pour l’entier de l’affluence,
L’antinomie de nos cœurs,
Sans plus aucune influence.
Nos pensées en parallèle,
Nos chemins de vie contigus,
Homo demens parentèle,
Même recherche du bonheur aigu.
Pourtant pour vous plus facile,
De juger que de comprendre,
Démarche bien plus docile,
De votre raison de tendre,
Vers la riche compréhension,
D’un schème de psyché complexe,
Sans aucune mauvaise attention,
Pour qui veut rien n’est implexe.
Juste concéder de s’ouvrir,
Voyage de la tolérance,
De toute idée sans appauvrir,
Lié enfin sans souffrance.
Michaël Overberg