DSC_6336
Mon chemin bachelardien
Tant j’aimerais me noyer en vie.
Comme quand je m’enfonce en forêt.
La sève me partage survie.
En chaque pas mon cœur désert renaît.
Les arbres sont les pères que je n’aie eus,
La force dans leurs racines m’ancre,
Dans l’instant, où souvent je suis déçu,
Mais mon arborescence est un sacre.
L’arbre n’abandonne le bois,
Sa soif de vie n’est éthylique.
Le souffle de sa parole flamboie,
Il ne se détourne par éthique.
La poussée du vent dans ses ramures,
Est la voix de livres en mille feuilles,
Que la complexité casse les murs,
La pensée complexe est un accueil
La nature et ma solitude,
Sont les guides de mon immanence,
De l’une je m’en nourris en étude,
De l’autre je m’y cache en silence.
Michaël Overberg
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Mon chemin bachelardien
Tant j’aimerais me noyer en vie.
Comme quand je m’enfonce en forêt.
La sève me partage survie.
En chaque pas mon cœur désert renaît.
Les arbres sont les pères que je n’aie eus,
La force dans leurs racines m’ancre,
Dans l’instant, où souvent je suis déçu,
Mais mon arborescence est un sacre.
L’arbre n’abandonne le bois,
Sa soif de vie n’est éthylique.
Le souffle de sa parole flamboie,
Il ne se détourne par éthique.
La poussée du vent dans ses ramures,
Est la voix de livres en mille feuilles,
Que la complexité casse les murs,
La pensée complexe est un accueil
La nature et ma solitude,
Sont les guides de mon immanence,
De l’une je m’en nourris en étude,
De l’autre je m’y cache en silence.
Michaël Overberg