Dguyzé
«... N’importe quand» Version B.
Polaroid Week, Octobre 2022. Jour 5, 2/2.
Collage papier No.11 B
Version Polaroid en transparence peint en blanc à l’arrière.
4 éléments. 20 X 23cm.
Collage avec Medium Mat et bâton de colle pour le Polaroid.
Le 14 août 2022.
Instant Lab. I-TYPEB&W.
Papier Strathmore Watercolor gris.
J’ai fait une deuxième version avec cette idée. C’est celle que je préfère à cause du «French-Canadian Pea Soup» que j’y ait ajouter et qui, curieusement, figure sur l’étiquette de la boîte de soupe.
À l’époque où mon père était tout jeune, les Anglophones du Québec insultaient les Canadiens Français avec ce «Pea soup».
À l’origine, cette appellation vient probablement du fait que les Anglophones du Québec étaient surpris que les Canadiens Français travaillent si fort en s’alimentant principalement de soupe au pois. Mais cela s’est vite modifier en insulte, les traitant ainsi de peureux, de «Pissou».
En retour, les Francophones traitaient les Anglophones de «Chicken» («Chicken shit») qui se traduit par «poule mouillée, peureux, poltron».
Mais cette nuit-là lorsque mon père, Alzheimer, écrivit sur un tout petit bout de papier «On peut manger de la soupe Habitant n’importe quand», il avait peut-être tout simplement une envie de réconfort alimentaire.
«... N’importe quand» Version B.
Polaroid Week, Octobre 2022. Jour 5, 2/2.
Collage papier No.11 B
Version Polaroid en transparence peint en blanc à l’arrière.
4 éléments. 20 X 23cm.
Collage avec Medium Mat et bâton de colle pour le Polaroid.
Le 14 août 2022.
Instant Lab. I-TYPEB&W.
Papier Strathmore Watercolor gris.
J’ai fait une deuxième version avec cette idée. C’est celle que je préfère à cause du «French-Canadian Pea Soup» que j’y ait ajouter et qui, curieusement, figure sur l’étiquette de la boîte de soupe.
À l’époque où mon père était tout jeune, les Anglophones du Québec insultaient les Canadiens Français avec ce «Pea soup».
À l’origine, cette appellation vient probablement du fait que les Anglophones du Québec étaient surpris que les Canadiens Français travaillent si fort en s’alimentant principalement de soupe au pois. Mais cela s’est vite modifier en insulte, les traitant ainsi de peureux, de «Pissou».
En retour, les Francophones traitaient les Anglophones de «Chicken» («Chicken shit») qui se traduit par «poule mouillée, peureux, poltron».
Mais cette nuit-là lorsque mon père, Alzheimer, écrivit sur un tout petit bout de papier «On peut manger de la soupe Habitant n’importe quand», il avait peut-être tout simplement une envie de réconfort alimentaire.