christian.bertaux
IMG_5434 à Michaël VERHEUDEN, à Marcello DA SILVA NETO et à Leonardo DA SILVA NETO
Bonne Année 2016. Pour Michaël VERHEYDEN.
De la part de Christian BERTAUX, Cannes.
Cette figurine de pierres n'a pas été réalisée par Michaël VERHEYDEN. Voir à GEOSHING Cannes.
Les siennes sont plus belles, moins massives. Michaël VERHEYDEN développe à l'extérieur du corps humain une sorte de transfert du centre de l'équilibration du corps/sujet [Y] au corps/objet [X] [i/i'---->j'] - du regardant au regardé où se trouvent ses figurines de pierres.
Dans une sorte de "ventriloquie de la gravitation" capable de sortir une parole silencieuse de l'extérieur de son corps, Michaël VERHEYDEN allége les rochers sur lesquels se logent les pierres de ses figurines de pierres. Il transfert en elles le sens de l'équilibration - non seulement celui de l'appareil psycho-somatique intérieur au mammifère humain- mais celui de nature sémiologique et linguistique- propre au montage du corps humain selon telle ou telle voie intérieure propre au HARA ou au DO [japonais], au DAO [chinois] et à la KUMA [bambara] . La mise en scène que déclenche Michaël se fait dans l'espace des sémiologies humaines à l'intérieur desquelles se nichent les montages du corps humain en tant que corps de langage. Le centre d'équilibration que transfert Michaël de son corps aux corps allégé de ses statuts de pierres ne se fait pas seulement à l'intérieur de l'appareil d'équilibration naturel au corps du mammifère humain . Il s'énonce dans un espace de signes grâce à une transformation que j'appelle en "sitologie et topologie linguistique" CIBLE/SOCLE . L'équilibre que l'art de Michaêl interpelle se communique à ceux qui regardent ces objets dans du langage articulé producteur de ce que Marx appelait au début de son texte du CAPITAL "le fétichisme" de la TABLE en le réduisant à tort au "fétichisme de la marchandise". Le pouvoir d'équilibration du corps humain en tant que corps de langage codé dans une histoire spécifique oubliée se communique donc du site d'un sujet " supposé sans corps" qui CIBLE les figurines de pierres au site d'un sujet "supposé ayant corps" qui se loge sur un SOCLE de langage qui réceptionne les figurines de pierres de Michaël. Ce sont ces espace sémiologiques de langage qui sont les vrais écosystèmes dans lesquels se nichent - s'équilibrent ou se déséquilibrent - avec ou sans télévision, avec ou sans portables et jeux vidéos- ces ETRES DE PAROLE ET DE SILENCE que sont les humains . Ce sont dans ces espaces sémiologiques du langage articulé - où se nichent les corps humains - que se tiennent sur leurs rochers les figurines de pierres de Michaël VERHEYDEN. C.B.
IMG_5434 à Michaël VERHEUDEN, à Marcello DA SILVA NETO et à Leonardo DA SILVA NETO
Bonne Année 2016. Pour Michaël VERHEYDEN.
De la part de Christian BERTAUX, Cannes.
Cette figurine de pierres n'a pas été réalisée par Michaël VERHEYDEN. Voir à GEOSHING Cannes.
Les siennes sont plus belles, moins massives. Michaël VERHEYDEN développe à l'extérieur du corps humain une sorte de transfert du centre de l'équilibration du corps/sujet [Y] au corps/objet [X] [i/i'---->j'] - du regardant au regardé où se trouvent ses figurines de pierres.
Dans une sorte de "ventriloquie de la gravitation" capable de sortir une parole silencieuse de l'extérieur de son corps, Michaël VERHEYDEN allége les rochers sur lesquels se logent les pierres de ses figurines de pierres. Il transfert en elles le sens de l'équilibration - non seulement celui de l'appareil psycho-somatique intérieur au mammifère humain- mais celui de nature sémiologique et linguistique- propre au montage du corps humain selon telle ou telle voie intérieure propre au HARA ou au DO [japonais], au DAO [chinois] et à la KUMA [bambara] . La mise en scène que déclenche Michaël se fait dans l'espace des sémiologies humaines à l'intérieur desquelles se nichent les montages du corps humain en tant que corps de langage. Le centre d'équilibration que transfert Michaël de son corps aux corps allégé de ses statuts de pierres ne se fait pas seulement à l'intérieur de l'appareil d'équilibration naturel au corps du mammifère humain . Il s'énonce dans un espace de signes grâce à une transformation que j'appelle en "sitologie et topologie linguistique" CIBLE/SOCLE . L'équilibre que l'art de Michaêl interpelle se communique à ceux qui regardent ces objets dans du langage articulé producteur de ce que Marx appelait au début de son texte du CAPITAL "le fétichisme" de la TABLE en le réduisant à tort au "fétichisme de la marchandise". Le pouvoir d'équilibration du corps humain en tant que corps de langage codé dans une histoire spécifique oubliée se communique donc du site d'un sujet " supposé sans corps" qui CIBLE les figurines de pierres au site d'un sujet "supposé ayant corps" qui se loge sur un SOCLE de langage qui réceptionne les figurines de pierres de Michaël. Ce sont ces espace sémiologiques de langage qui sont les vrais écosystèmes dans lesquels se nichent - s'équilibrent ou se déséquilibrent - avec ou sans télévision, avec ou sans portables et jeux vidéos- ces ETRES DE PAROLE ET DE SILENCE que sont les humains . Ce sont dans ces espaces sémiologiques du langage articulé - où se nichent les corps humains - que se tiennent sur leurs rochers les figurines de pierres de Michaël VERHEYDEN. C.B.