Clo ... des dunes
Bains des Dames
Internationalement connu pour ses « Memorias Urbanas » (mémoires urbaines), l’artiste espagnol Juan Garaizabal est venu œuvrer à Biarritz, après avoir paré de ses œuvres les rues de Miami, Shanghai, Paris, Séoul ou encore Venise.
Haute de neuf mètres, sa sculpture « Memoria Urbana : Les Bains Napoléon » vient rappeler aux passants biarrots l’histoire des jardins de la Grande Plage.
C’est l’arrivée de l’impératrice et le fait de bâtir les bains qui a donné à la ville un aspect international
En août 1858, le complexe thermal des Bains Napoléon et le Casino de Biarritz sont inaugurés. Des constructions mises en œuvre rapidement après que Napoléon III a choisi la station balnéaire comme lieu de villégiature. Ils sont détruits quelques années plus tard, remplacés par un autre établissement.
Le style mauresque choisi alors par l’architecte Alphonse Bertrand se retrouve dans l’actuelle sculpture.
Elle représente une ébauche de la porte des bains des dames du bâtiment, avec cette arche arrondie caractéristique de cette architecture maure.
Avec ses neuf mètres de haut, cette structure métallique légère évoque les lignes disparues des Bains Napoléon, installés ici en 1858 avant leur démolition en 1896.
"Ce que je cherche, c’est à faire réapparaître un bâtiment disparu, mais sans le reconstruire.
Les Bains Napoléon étaient un symbole de modernité et d’élégance. Ma sculpture est une mémoire en volume, une trace poétique dans le paysage."
Juan Garaizabal
Bains des Dames
Internationalement connu pour ses « Memorias Urbanas » (mémoires urbaines), l’artiste espagnol Juan Garaizabal est venu œuvrer à Biarritz, après avoir paré de ses œuvres les rues de Miami, Shanghai, Paris, Séoul ou encore Venise.
Haute de neuf mètres, sa sculpture « Memoria Urbana : Les Bains Napoléon » vient rappeler aux passants biarrots l’histoire des jardins de la Grande Plage.
C’est l’arrivée de l’impératrice et le fait de bâtir les bains qui a donné à la ville un aspect international
En août 1858, le complexe thermal des Bains Napoléon et le Casino de Biarritz sont inaugurés. Des constructions mises en œuvre rapidement après que Napoléon III a choisi la station balnéaire comme lieu de villégiature. Ils sont détruits quelques années plus tard, remplacés par un autre établissement.
Le style mauresque choisi alors par l’architecte Alphonse Bertrand se retrouve dans l’actuelle sculpture.
Elle représente une ébauche de la porte des bains des dames du bâtiment, avec cette arche arrondie caractéristique de cette architecture maure.
Avec ses neuf mètres de haut, cette structure métallique légère évoque les lignes disparues des Bains Napoléon, installés ici en 1858 avant leur démolition en 1896.
"Ce que je cherche, c’est à faire réapparaître un bâtiment disparu, mais sans le reconstruire.
Les Bains Napoléon étaient un symbole de modernité et d’élégance. Ma sculpture est une mémoire en volume, une trace poétique dans le paysage."
Juan Garaizabal