[ ADDENDUM au 24 janvier 2025 ] : Voilà maintenant 6 fois en l'espace de deux semaines qu'on me demande pourquoi j'ai quitté les réseaux sociaux ; afin de m'épargner une 7ème réponse vous trouverez mes explications détaillées à ce sujet en faisant défiler cette page (loin loin loin ⏬ ... ) jusqu'au paragraphe intitulé « OUPS ! J'AI FAILLI OUBLIER ! » 💬
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[FR] : Né en 1967 en région parisienne je me passionne très vite pour l'image sous toutes ses formes, qu'elle soit fixe ou animée. Après avoir passé une partie de mon enfance à jouer en France avec un instamatic Kodak, puis avec un Polaroïd outre-Atlantique où mon père était professeur au sein d'universités à Boston (Massachusetts) et Sherbrooke (Québec), c'est à l'âge de 14 ans – à l'issue de la repeinte d'un appartement familial durant tout un été (...) – que je préfère me faire offrir mon tout premier appareil réflex 24x36 plutôt qu'une mobylette (mes petits camarades de l'époque avaient des Peugeot 103 SP qui pétaradaient devant le lycée, moi un Canon AE-1 program qui faisait « clic-clac » ; chacun son truc...).
Parallèlement à mes études (brillamment sanctionnées par une Licence de feignasse 1er degré ; une Maîtrise de tire-au-flanc intergalactique ; puis (enfin...) par un DESS de cossard 3ème dan avec mention « Pourrait au moins faire semblant de se casser un peu la 17ème lettre de l'alphabet... ») j’intègre, adolescent, une des toutes premières radios libres françaises en 1982 dans laquelle je fais connaissance de bon nombre des chanteurs des années 80 ; puis, tout en continuant mes activités radiophoniques, je rejoins un an plus tard, à l’âge de 16 ans, le journal « Le Matin de Paris » (feu le quotidien du « Nouvel Observateur ») en qualité de correspondant de presse scolaire.
Ma grand-mère (qui fit partie de la première troupe de Jean Vilar avec – entre autres – Jeanne Moreau et Philippe Noiret lors du tout premier festival d'Avignon ; rien que ça...) ayant eu une notoriété certaine dans l’univers radiophonique en y interprétant plus d'un millier de pièces théâtrales avec tant de stars de l'époque qu'il me faudrait six ramettes de papier pour n'en lister que la moitié ; force est de constater qu'en comparaison mes piètres prestations quotidiennes sur les ondes de la FM n’impressionnaient (forcément...) que bien peu mon entourage…
Mon grand-père en revanche, producteur de son état, fut relativement fier de voir parfois quelques de mes clichés dans la presse quotidienne et m’offrit en 1984 l’opportunité d’immortaliser le tournage d'un long métrage à environ 25km de Rome. C’est ainsi que je me suis retrouvé immergé au coeur du domaine de la grandiose Villa Adriana à Tivoli et que mes toutes premières photographies de plateau furent celles de Coluche, de Michel Serrault, de Carole Bouquet ou, entre autres encore, de Michael Lonsdale.
Cette même année je rejoins Gaumont (sans aucun mérite du reste puisque mon grand-père y siégeait au conseil d'administration) afin d’y peaufiner mon apprentissage des métiers du cinéma au cours de différents stages durant mes congés. L'un d'eux m'aura amené à travailler sous la direction d'un homme exceptionnel m'ayant énormément appris tant sur les métiers de l'audiovisuel que sur les valeurs humaines en général ; il était d'une gentillesse et d'une humilité rares ; il s'appelait Pierre Tchernia, et je me devais bien de lui rendre ce court hommage. Fort de ces expériences (aussi riches que pluridisciplinaires) j'intègre en 1988 une jeune société de production parisienne avec laquelle je collabore à la conception et aux tournages de quelques vidéo-clips pour diverses maisons de disques telles que Polydor et Barclay.
Rattrapé par l’armée (à presque 23 ans...) je fais mes classes en 1990 à Fontainebleau, au 120e régiment du train, puis rejoins le Fort d’Ivry pour y intégrer l’ECPA (Établissement Cinématographique et Photographique des Armées, aujourd’hui rebaptisé ECPAD pour Établissement de Communication et de Production Audiovisuelle de la Défense) où je confirme mon appétence pour la prise de vue, que ce soit derrière un appareil photographique ou une caméra de reportage.
Plus que jamais passionné par l’image en cette période charnière entre la prise de vue argentique (ou analogique) et son traitement numérique, je fais partie en 1992 d’une équipe de joyeux farfelus participant au développement en Europe des toutes premières machines d’imagerie de synthèse et de montage virtuel. Si ce challenge pouvait sembler risqué tant les professionnels étaient habitués à ne manipuler que de la pellicule, il s’avèrera néanmoins vite payant quand Luc Besson – rencontré quelques années plus tôt chez Gaumont lors de la promotion du « Grand Bleu » – s’intéressa à ces nouvelles technologies. Il avait en effet dans ses cartons un projet un peu fou répondant au nom de code de « Zaltman Bléros » plus connu dès 1997 sous le nom du « Cinquième Élément ».
Après quelques années passées à… « trafiquer » de l’image sur certains films je finis par développer une quasi-allergie au faux et décide de retourner à des valeurs plus classiques. Je quitte Paris en 2006 et m’installe dans le sud de la France pour y reprendre des activités photographiques plus proches du réel.
Loin du gotha parisien et pensant ne plus photographier que des p’tits oiseaux (...) j’étais objectivement assez heureux de m'être (presque) enterré vivant, dans ma campagne, au soleil, loin du métro et de la cohue des grandes villes. Mais ce répit ne dura que 6 mois puisque c’était sans compter, en 2007, sur l'appel téléphonique d’une amie depuis 1985, Bibie, la chanteuse du titre « Tout doucement », m’informant qu’elle faisait partie d’une tournée musicale d’artistes de variété ayant réalisé des tubes dans les années 1980. C’est donc ainsi que je me suis retrouvé embarqué dans l’aventure « RFM Party 80 » qui deviendra plus tard « Stars 80 ».
Depuis lors j’ai enchainé d’autres plateaux, d’autres scènes, d’autres pays, d’autres producteurs, d’autres tourneurs, d'autres studios, d'autres backstages, d’autres artistes, d’autres publications, et me suis spécialisé dans la photographie de scène demandant une expertise technique poussée en regard de ses éclairages constamment fluctuants ; m’attelant à la captation du vrai ; à tenter de saisir l’instant précis qui fera qu’un 250ème de seconde plus tôt ou plus tard une image n’aura pas même impact (parce que quand on fige quelqu’un qui chante on a vite fait de transformer une expression en grimace si l'on y prend garde ; oui oui oui... promis juré... et ça n'est pas le but recherché ; ou parce qu'il y a toujours un micro au premier plan pour nous faire des misères au niveau de la mise au point ; si si si... essayez, vous comprendrez...).
Outre les quelques clichés présents sur cette page (j’en totalise de mémoire plus de 180.000) je fais partie – à tort ou à raison – de ces rares photographes ne diffusant pas (ou du moins plus me concernant) leurs propres travaux ni sur Internet ni sur les réseaux sociaux à des fins d'auto-promotion, et ce pour au moins cinq raisons :
★ D’une part et en tout premier lieu, parce qu’il n’y a rien de plus horripilant que de voir ses clichés volés sur internet puis publiés par tels journaux ou tels magazines, parfaitement sciemment affublés d'un immoral © DR (pour « droits réservés »), faisant volontairement abstraction du réel nom de l'auteur afin de ne pas s'acquitter des droits de publication qui lui sont dus sauf si ce dernier s'en aperçoit. (Cette douteuse pratique du « pas vu pas pris » – visant à maladroitement tenter de contourner les articles L. 111-1, L. 122-4, L. 335-2 et suivants du Code de la Propriété Intellectuelle – s’est tellement banalisée au détriment des photographes que je ne compte plus combien mes tiroirs renferment de protocoles d'accords transactionnels émanant d'avocats de certaines publications m'ayant – à tort – pris pour Charles Ingalls et me proposant a posteriori tel ou tel montant contre la non-divulgation des noms de leurs clients pris la main dans la boîte de chocolats.
★ D’une autre, parce que je ne suis pas un paparazzi et que mon sens de l'éthique me pousse à estimer que mes clichés appartiennent davantage à ceux qui me les ont commandés qu’à moi-même (ne trouveriez-vous pas odieux que le chef d'un restaurant vienne manger dans votre assiette sous prétexte que c'est lui qui l’a cuisinée ?).
★ D'une autre encore, parce que j’ai une réelle aversion pour la vanité de certains de mes confrères (qu’ils soient professionnels, mauvais ou bons, ou de simples « faux-tographes » comme il en fleurit quotidiennement treize à la douzaine) n’ayant pas compris que notre métier consiste avant tout à magnifier LES AUTRES plutôt que soi-même, et finissant – de facto – par se prendre pour des stars eux-mêmes sous prétexte d'en côtoyer ou d'en avoir approché ; j'ai une horreur épidermique de cela.
★ D'une autre également, parce que j'ai clos depuis fort longtemps mes comptes Facebook saturés (mea culpa, il fut un temps où moi aussi j'ai pêché...), et que mon compte Instagram ne comporte volontairement aucun de mes clichés professionnels pour les trois raisons citées ci-avant (et puis... parce qu'être le photographe – ne serait-ce même que très temporairement – d'untel, d'unetelle, de tel film ou de tel évènement, a une fâcheuse tendance à dénaturer les relations avec autrui tant on en devient – comme par magie – subitement intelligent et beau... Oui oui oui, promis ; c'est presque aussi efficace que d'avoir gagné au loto ; demandez donc aux photographes du précédent paragraphe si j'exagère...).
★ Et, enfin, parce que la tranquillité n'ayant pas de prix la majorité de mes voisins ne me connait que par mon prénom, me croit jardinier, testeur de toboggans, verbicruciste, orthophoniste pour félidés, ou dompteur d'escargots sauvages, et que... ma foi... c'est très TRÈS bien ainsi ! 😉
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[EN (taken from the IMDb website) ] : Benoît Éon is a French still photographer known since his teens for his photos behind the scenes of the movie Good king Dagobert (Le Bon Roi Dagobert). Her grandmother Anne Caprile was a well-known actress from the 1950s to the 1970s and his grandfather Claude Baks was a friend and producer associated with the director Roberto Rossellini.
After completing his military service in France as a photographer and camera operator for the cinematographic and photographic institution of the armies, he became in 1992 one of the European pioneers in virtual editing & 3D image synthesis and participates as a subcontractor in the finalization of scenes of various movies like The Mask with Chuck Russell or The Fifth Element (Le Cinquième Élément) with Luc Besson.
He is also known in France for his photos of famous singers on stage or backstage, including in Cuba those of the famous Cuban group Buena Vista Social Club as well as those of very many singers of the French film Stars 80.
He leaves Paris in 2006 to settle in a small village in the south of France where he continues to photograph various artists or events around the world as the world premiere of the movie Avengers : Age of Ultron for Marvel Studios in Hollywod or the making of the series The Hotwives of Las Vegas for Hulu in Las Vegas.
Read more on IMDb
Read more on The Movie Database
Demo reel (2015) on YouTube
Benoît Éon on Instagram
Catch him on Google Map
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QUELQUES RÉFÉRENCES :
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FILMS / SÉRIES / DOCUMENTAIRES / PUBLICITÉS (liste non exhaustive / en matière de photographie uniquement) :

2024 - MSC CRUISES BRAND CAMPAIGN / « FOR A GREATER BEAUTY » (Dentsu Creative Italiy / Birth Productions)
.......... - MSC Cruises « For a Greater Beauty » : Television version (1 min) → ⬤
.......... - MSC Cruises « For a Greater Beauty » : Director's cut (non-broadcast version – 1 min 30 s) → ⬤
2023 - LA SAGA RASSAM-BERRI, LE CINÉMA DANS LES VEINES (Babel Doc / France Télévision / Together Media) → ⬤
2015 - AVENGERS : L'ÈRE D'ULTRON (Marvel Studios)
2015 - THE HOTWIVES OF LAS VEGAS (Hulu, now a Disney company) → ⬤
1984 - LE BON ROI DAGOBERT (Archimède Int. / Gaumont / Stand'Art / FR3 / Filmedis / Opera Film Produzione) → ⬤
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ARTISTES & PERSONNALITÉS : (liste non exhaustive)

--- A ---
OLETA ADAMS (4 x Grammy nominee / Amsterdam / Netherlands) → ⬤
ANNICK ALANE †
BERNARD ALANE
NADINE ALARI †
LUIS ALEMANY (Varadero / Cuba / cf. Buena Vista Social Club)
ALLIAGE
ANICÉE ALVINA †
BETTINA ANTONI (cf. Les Coco-Girls)
CÉCILE AUBRY †
CLAUDINE AUGER †
ANTOINE AURECHE [now also known as « VALFEU »] (cf. Operation Of The Sun)
Les AVIONS
--- B ---
CLAUDE BAKS †
JACQUES BALUTIN
MAURICE BARRIER †
VALÉRIE BARROUILLE
JOHN BARROWMAN
JEAN-CLAUDE BAUDRACCO
THIERRY BECCARO
VALÉRIE BENGUIGUI †
RHONA BENNETT (Amsterdam / Netherlands / cf. En Vogue)
IRÈNE BICEP (cf. Layko)
MAÏTENA BIRABEN
BETHANEE BISHOP (Albuquerque / USA)
RICHARD BOHRINGER
PIERRE BONTE
ANDRÉ BONZEL (engloutisseur de chips [private joke from 1986] et coréalisateur du film « C'est arrivé près de chez vous »)
CHICO BOUCHIKHI (cf. Gipsy Kings)
CAROLE BOUQUET
MICHEL BOUQUET †
ROMAIN BOUTEILLE †
GÉRARD BRACH †
LOALWA BRAZ † (cf. Kaoma / Odieusement assassinée à Saquarema [Brésil] dans la nuit du 18 au 19 janvier 2017)
PHILIPPE BRIZARD †
BRONSKI BEAT
ASHLEY BROWN
KELLEY BRUGGERE (Los Angeles / USA)
BUENA VISTA SOCIAL CLUB (Varadero / Cuba)
KSENIA BUZINA (Ксения Бузина) ★ [Free promo turned ON] - Parce que ce petit bout de jeune femme injustement méconnue en Europe – en plus d'être aussi talentueuse qu'humble – maîtrise tant le chant que le piano ; parle et chante parfaitement en sept langues (dont le chinois...) tout en étant titulaire d'un diplôme universitaire en Finance Internationale ; il aurait été dommage que je manque de vous inviter à la découvrir par le biais de son titre « Never Felt This Way » en anglais ; par sa reprise en italien de « Amo La Vita » ; ou (entre bien d'autres encore...) par le titre « Leave Me Now » accompagnée ici par le groupe russe « Leonid & Friends » connu jusqu'aux USA pour ses covers d'exception - [Free promo turned OFF] ★
--- C ---
CARLOS CALUNGA (Varadero / Cuba / cf. Buena Vista Social Club)
GÉRARD CALVI †
JIL CAPLAN
ANNE CAPRILE †
VITTORIO CAPRIOLI †
ROGER CAREL †
DANY CARREL
ÉRIC CASERO (cf. Kazero)
JEAN-PIERRE CASSEL †
JEAN-PHILIPPE CATUSSE (cf. Les Stentors)
DANIEL CAUCHY †
FRED CHAPELLIER
CHARLIE MAKES THE COOK
TSILLA CHELTON †
MAURICE CHEVIT †
YVONNE CLECH †
Les COCO-GIRLS
CYRIL COLLARD †
COLUCHE †
Le CONDOR
CAL COOPER (cf. Worlds Apart)
DAVID COPPERFIELD (Las Vegas / USA)
VLADIMIR COSMA
BRUNO CREMER †
HERVÉ CRISTIANI †
--- D ---
ANH DAO-TRAXEL
ANDRÉE DAMANT †
JEAN-YVES D'ANGELO
MERLE DANDRIDGE
MIREILLE DARC †
JEAN-PIERRE DARRAS †
DANIELLE DARRIEUX †
CLAUDE DAVY † (avec lequel j'ai longtemps partagé un bureau au 8 de la rue du Colisée [Paris 8e] ; il fut comédien, producteur délégué, et attaché de presse - entre autres - de Gérard Depardieu, Maurice Pialat et Jean-Luc Godard)
JOSÉE DAYAN
GUIDO DE ANGELIS
MAURIZIO DE ANGELIS
OLIVIA DE HAVILLAND †
JEAN-DOMINIQUE DE LA ROCHEFOUCAULD †
CHRISTIAN DE SICA
DÉBUT DE SOIRÉE
ELLEN DeGENERES
CHRISTIAN DELAGRANGE
SUZY DELAIR †
GEORGE DELERUE †
EDDA DELL'ORSO
GÉRARD DEPARDIEU
SOPHIE DESMARETS †
MANU DIBANGO †
CÉLINE DION (Las Vegas / USA)
TREVOR DION NICHOLAS → ⬤
EMMANUEL π DJOB (demi-finaliste The Voice 2013)
JACQUES DOILLON
DORA DOLL †
ALAIN DOUTEY
MARC DUDICOURT †
CANDY DULFER (Amsterdam / Netherlands / cf. Ladies of Soul)
BRUNO DUROCHER † (de son vrai nom Bronislaw Kaminski, écrivain et poète Polonais)
--- E ---
SHEILA E. (Prince's drummer, collaborator and fiancée / Amsterdam / Netherlands) → ⬤
QUENTIN ELIAS † (cf. Alliage)
TERRY ELLIS (Amsterdam / Netherlands / cf. En Vogue)
ÉMILE & IMAGES
EN VOGUE (Amsterdam / Netherlands) → ⬤
DJ JACK ESMERALDA
JADE EWEN → ⬤
--- F ---
CHARLIE FABERT
ÉRIC FANINO
CHRISTIAN FECHNER †
FRANÇOIS FELDMAN
ISABELLA FERRARI
GÉRARD FERRER
ALAIN FEYDEAU †
GENEVIÈVE FONTANEL †
SAMANTHA FOX
SAMI FREY
F.R. DAVID
MICHEL FUGAIN
--- G ---
MARION GAME †
GAROU
CHANTAL GARRIGUES †
DANIEL GÉLIN †
CLAUDE GENSAC †
JEAN-FRANÇOIS GÉROLD (cf. Le Condor)
LAURENT GERRA
DANIÈLE GILBERT
DAVID GILMOUR (cf. Pink Floyd)
GIPSY KINGS
ANNIE GIRARDOT †
KIKO GOASSE †
JEAN-LUC GODARD †
SACHA GOËLLER (cf. Début de Soirée)
SERGEY GORELIKOV (Сергей Гореликов - Comedy Club / Russia)
MARIA GORELIKOVA (Мария Гореликова)
GLENNIS GRACE (Amsterdam / Netherlands / cf. Ladies of Soul) → ⬤
JULIEN GUIOMAR †
HENRI GUYBET
VIANNEY GUYONNET (cf. Les Stentors)
--- H ---
JESS HAHN †
ROGER HANIN †
STEVE HART (cf. Worlds Apart)
MURRAY HEAD
ERINN HAYES (Las Vegas / USA)
CINDY HERRON (Amsterdam / Netherlands / cf. En Vogue)
TYMBERLEE HILL (Las Vegas / USA)
MICK HUCKNALL (cf. Simply Red)
JOHN HURT †
--- I ---
Les INNOCENTS
--- J ---
KATE JACKSON
CLAUDE JADE †
FAMKE JANSSEN
SCARLETT JOHANSSON (Los Angeles / USA)
Sir ELTON JOHN (Las Vegas / USA) → ⬤
KEITH JOHN (Stevie Wonder's touring/backing vocalist / Amsterdam / Netherlands) → ⬤
DEAN JOHN-WILSON
MICHEL JONASZ
ABEL JORES †
--- K ---
DIDIER KAMINKA †
KAOMA
MANU KATCHÉ
KAZERO
KEEN'V
PHILIPPE KHORSAND †
ANGELA KINSEY (Las Vegas / USA)
KSENONA (cf. Ksenia Buzina / Ксения Бузина)
--- L ---
HENRI LABUSSIÈRE †
LADIES OF SOUL (Amsterdam / Netherlands) → ⬤
JEAN-YVES LAFESSE †
PATRICE LAFFONT †
CORINNE LAHAYE †
ROBERT LAMOUREUX †
MOWGLI LAPS (cf. Les Stentors)
BERNARD LARMANDE
BERNARD LAVALETTE †
FRANCIS LAX †
LAYKO
PAUL LE PERSON †
CORINNE LE POULAIN †
MICHEL LE ROYER †
DANIÈLE LEBRUN
PAUL LEDERMAN †
STAN LEE † (Los Angeles / USA)
JEAN LEFEBVRE †
GÉRARD LENORMAN
HERBERT LÉONARD
BERGET LEWIS (Amsterdam / Netherlands / cf. Ladies of Soul) → ⬤
MICHAEL LONSDALE †
ROGER LUMONT †
--- M ---
ALI MacGRAW
BERNARD MALATERRE
GUY MARCHAND †
CARMELA MARIE
CHRISTIAN MARIN †
ELSA MARTINELLI †
MIMIE MATHY
MAURANE †
CLAIRE MAURIER
LAURA MAYNE (cf. Native)
FRANK McCOMB (collaborator of Prince, Chaka Khan, Will Smith, etc. / Amsterdam / Netherlands) → ⬤
JH MEMPHIS
ALAN MENKEN
MARTHE MERCADIER †
CHRISTIANE MINAZZOLI †
MANUEL « GUAJIRO » MIRABAL (Varadero / Cuba / cf. Buena Vista Social Club)
PIERRE MIRAT †
CHRISTINE MITAL † (rédactrice en chef au Nouvel Observateur)
JEAN-PIERRE MOCKY †
PIERRE MONDY †
GUY MONTAGNÉ
NATHAN MOORE (cf. Worlds Apart)
JEANNE MOREAU †
JACQUES MOREL †
ÉRIC MORENA †
MARILIA MORENO (Los Angeles / USA)
JEAN-PIERRE MORGAND (cf. Les Avions)
STEFFEN MORRISON (Amsterdam / Netherlands)
JEAN-JACQUES MURGIA (cf. Sekli)
--- N ---
NAGUI
MARIE-JOSÉ NAT †
NATIVE
JULIE NAVARRO (Koh-Lanta 2016 & 2018)
KATOUCHA NIANE †
PHILIPPE NOIRET †
CLAUDE NOUGARO †
--- O ---
JEAN OBÉ †
BILLY OCEAN (Amsterdam / Netherlands) → ⬤
BULLE OGIER
FABIENNE OLLIER
TRIJNTJE OOSTERHUIS (Amsterdam / Netherlands / cf. Ladies of Soul) → ⬤
ORCHESTRE PHILARMONIQUE DE PROVENCE
PAPI OVIEDO † (Varadero / Cuba / cf. Buena Vista Social Club)
--- P ---
GENEVIÈVE PAGE
GÉRARD PALAPRAT †
ANDRÉA PARISY †
ROBERT PARTY †
LUCIANO PAVAROTTI †
IVAN PAVLAK
MARCO PERRIN †
LAURENT PETITGUILLAUME
DANNAH PHIRMAN (Las Vegas / USA)
MAURICE PIALAT †
JEAN PIAT †
WILLIAM PICARD (cf. Début de Soirée)
MICHEL PICCOLI †
CLAUDE PIÉPLU †
GUY PIÉRAULD †
JULIE PIÉTRI
PINK FLOYD
JEAN POIRET †
HENRI POIRIER †
PAUL PRÉBOIST †
PATRICK PRÉJEAN
JEAN-LOUIS PUJADE (cf. Émile & Images)
--- Q ---
JAKIE QUARTZ
--- R ---
JEAN-PIERRE RAMBAL †
JESUS « AGUAJE » RAMOS (Varadero / Cuba / cf. Buena Vista Social Club)
MARIO RAMSAMY (cf. Émile & Images)
THIERRY REDLER †
LUIS REGO
NICOLAS REYES (cf. Gipsy Kings)
ANTOINE RIBOUD † (président de Danone)
CHRISTOPHE RIBOUD † (président de l'IFOP et cofondateur de La Cinq)
JEAN RIBOUD † (président du groupe Schlumberger)
KRISHNA RIBOUD † (historienne et collectionneuse d'œuvres d'art)
MARC RIBOUD † (photographe)
ANNE RICHARD
JEAN RICHARD †
MAURICE RISCH †
DINO RISI †
JACQUES RIVETTE †
PASCALE ROBERTS †
CHRISTELLE ROCA
EDSILA ROMBLEY (Amsterdam / Netherlands / cf. Ladies of Soul) → ⬤
JEAN ROUGERIE †
SHIRMA ROUSE (Amsterdam / Netherlands)
CATHERINE ROUVEL
MICHEL ROUX †
--- S ---
FILIBERTO SANCHEZ (Varadero / Cuba / cf. Buena Vista Social Club)
RICHARD SANDERSON
MARTINE SARCEY †
INÉS SASTRE
SERGE SAUVION †
ANDREA SAVAGE (Las Vegas / USA)
DANIELLE SCHNEIDER (Las Vegas / USA)
ÉDITH SCOB †
FRANÇOIS « DÉDÉ » SEKLI (cf. Sekli)
SEKLI
MATHIEU SEMPÉRÉ (cf. Les Stentors)
PETER SEMMLER †
MICHEL SERRAULT †
TERRY SHANE
SIMPLY RED
RENAUD SIRY
JACLYN SMITH
JIMMY SOMERVILLE (cf. Bronski Beat)
CATHERINE SPAAK †
SCARLETT STRALLEN
JOSH STRICKLAND
MAX VON SYDOW †
--- T ---
Les TAMBOURS DU BRONX
JAMES "J.T." TAYLOR (lead singer of the band Kool & the Gang / Amsterdam / Netherlands) → ⬤
PIERRE TCHERNIA †
ALLAN THÉO
JEAN-MARC THIBAULT †
MARC TOESCA
UGO TOGNAZZI †
JEAN TOPART †
TANIA TORRENS †
PIERRE TORNADE †
DANIEL TOSCAN DU PLANTIER †
BONNIE TYLER
--- U ---
ALBERT UDERZO †
JEAN-CHRISTOPHE URBAIN (cf. Les Innocents)
--- V ---
IDANIA VALDÉS (Varadero / Cuba / cf. Buena Vista Social Club)
CATERINA VALENTE †
ROSY VARTE †
FRANCIS VEBER
PIERRE VERNIER †
HENRI VIRLOJEUX †
--- W ---
ÉMILE WANDELMER (cf. Émile & Images)
ROGER WATERS (cf. Pink Floyd)
ALTON FITZGERALD WHITE
ANNE WIAZEMSKY †
--- Y ---
JEAN YANNE †
YANNICK (ici avec Jean-Philippe CRESCENCE †)
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SPORT & SPORTIFS : (liste non exhaustive)

FABRICE BÉNICHOU
RYAN EDMUNSON
MAHÉ-PRASLIN WINDSURFER RACE (Seychelles)
RENÉ METGE †
MAHYAR MONSHIPOUR-KERMANI
TRIATHLON DE BELFORT 2012
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POLITIQUE :
CHRISTIAN ESTROSI
NOUVEAU NARBONNE
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ÉVÈNEMENTIEL : (liste non exhaustive)

AD PRODUCTIONS
BELINDA PRODUCTIONS
BLUES & SOUL EVENTS
CHEYENNE PRODUCTIONS
COMITÉ SUPER MAMIE FRANCE
COM'PROD
CÔTÉ SCÈNE PRODUCTIONS
CPS PROD
ENZO SPECTACLES
GLIMMA
GROUPE ACOUSTIC
JFG PRODUCTIONS
Les LOLIPOP
OPÉRA DE MARSEILLE
ORCHESTRE CALICOBA
ORCHESTRE NEWZIK
ORCHESTRE RICHARD GARDET
ORCHESTRE TRAIT D'UNION PÉRIER
PLEINS FEUX ORGANISATION
SCÈNE NATIONALE DE NARBONNE
SHOWBIZAR
SHOW WORKS
STELASUD PRODUCTIONS
TENDANCES AGENCY
VIA TEMPORIS
YADLAJOIE PRODUCTIONS
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PRESSE / MÉDIAS / COMMUNICATION : (liste non exhaustive)

ACTEUR FÊTE
AGENCE CITELYA
AGENCE COM'ATTITUDE
ARTE
BABEL DOC
CANAL+
CCM BENCHMARK GROUP
COULISSES MÉDIAS
DERNIÈRES NOUVELLES D'ALSACE
ENTERTAINMENT MÉDIA FRANCE
E-VOUS
FNAC SPECTACLES
FRANCE BLEU ROUSSILLON
FRANCE TÉLÉVISION
GROUPE CENTRE FRANCE
GROUPE PRISMA MEDIA
L'HÉRAULT
HUDBA SLOVAKIA
IDOLES MAG
IMUSIC
JOURNAL DES FEMMES
JUST MUSIC
LA DÉPÊCHE DU MIDI
LA MONTAGNE
LA PROVENCE
LA VOIX DU NORD
LE COURRIER SUISSE
LE JOURNAL CATALAN
LE JOURNAL DES FEMMES
LE MATIN DE PARIS
LE PETIT JOURNAL
LE PROGRÈS
M6
MAGIC 80
MELODY TV
MIDI LIBRE
MSN DIVERTISSEMENTS
NICE MATIN
OBSKÜRE
POPINGCHERRY
PROTECT YA NECK
PURETREND
RADIO FRANCE
RADIO MENERGY
RDN 24
RED ALERT LIVE
RTL
SUD OUEST
TÊTUE
TF1
TOGETHER MEDIA
VAR MATIN
VOICI
WEBEDIA
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AUTRES : (liste non exhaustive)

AMAZON WALLS (Seattle / Washington / USA)
L'ANNEXE (Béziers / Hérault)
ASSOCIATION ASTRID MRCPI (Sète / Hérault)
ATRIUM RESTAURANT CLUB LOUNGE (Nice / Alpes-Maritimes)
BASIL'S BAR (Mandalay / Mustique Island / Saint Vincent and the Grenadines)
BOOT STAR (Las Vegas / Nevada / USA)
CHALETS D'ANSE FORBANS (Mahé / Seychelles)
CLUB AUDI TT SUD (Colombiers / Hérault)
CLUB TAURIN DE MAUREILHAN (Hérault)
COLLECTIF PROUVÈNÇO (Grans / Bouches-du-Rhône)
COMITÉ DES FÊTES DE FRONTIGNAN (Hérault)
CONSEIL GÉNÉRAL DE L'HÉRAULT (Montpellier / Hérault)
DEEZER (Paris)
DEUX CHEVAUX CHÉRIE (Narbonne / Aude)
FÉDÉRATION NATIONALE DES COMITÉS ET ORGANISATEURS DE FESTIVITÉS (Toulouse / Haute-Garonne)
FIREFLY HOTEL (Mandalay / Mustique Island / Saint Vincent and the Grenadines)
GREATSONG.net
GROUPE CARSO (Vénissieux / Rhône)
GROUPE FIMALAC (Paris)
GROUPE SCHLUMBERGER (Paris)
HABEAS AVOCATS & CONSEILS (Narbonne / Aude)
HISTOIRES DES CHANSONS.com
INTERCONTINENTAL LE MOANA RESORT (Bora Bora / French Polynesia)
LABORATOIRE LTB - Toxicologie & Bioanalyse (Narbonne / Aude)
MARIAGE NARBONNE (Aude)
MAVERICK HELICOPTERS (Grand Canyon / Arizona & Las Vegas / Nevada / USA)
MICROSOFT CORPORATION (Redmond / Washington / USA)
PARADISE ISLAND RESORT (Lankanfinolhu / Maldives)
PLASTICA TIJUANA (Tijuana / Mexico)
RICHMOND OCEANFRONT HOTEL (Miami Beach / Florida / USA)
SHARKWIND.com (Seychelles)
SONO LIGHT ECO (Clermont-Dessous / Lot-et-Garonne)
SOUNDCLOUD (Berlin / Germany)
SVG TOURISM (Saint-Vincent / Saint Vincent and the Grenadines)
TOUS UNIS POUR SASCHA (Capestang / Hérault)
TRANS LASER (Vendargues / Hérault)
VETDOM (Narbonne / Aude)
VILLE D'AGDE (Hérault)
VILLE DE BEAUCAIRE (Gard)
VILLE DE CLAIRA (Pyrénées-Orientales)
VILLE DE MAUREILHAN (Hérault)
VILLE DE NARBONNE (Aude)
VILLE DE NEVERS (Nièvre)
VILLE DE PERPIGNAN (Pyrénées-Orientales)
VILLE DE SAINT-AMAND-LES-EAUX (Nord)
VILLE DE VAISON-LA-ROMAINE (Vaucluse)
ZANZA.fr
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PETIT BONUS À L'ATTENTION DES GRANDS MALADES ÉTANT ARRIVÉS JUSQU'AU BAS DE CES LISTES :
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On m'a parfois demandé (souvent même...) ce que je faisais depuis que j'ai délibérément arrêté la photographie à titre professionnel mi-2024 ; eh bien figurez-vous que j'ai deux péchés mignons :
★ Le premier (aussi photographique que maritime...) consiste à capturer – pour mon unique plaisir – les 100.000 variations que m'offrent tous les états du ciel et de l'eau quand je navigue sur les mers et océans du globe (et avec une planète peuplée de 8 milliards d'humains – et de tout autant de leurs travers (...) – force est d'admettre que même égaré au milieu du triangle des Bermudes j'apprécie de plus en plus la sérénité que me procure le large sans CNN ou autres BFM TV...).

★ Le second (ô combien plus gourmand mais carrément moins sympa pour ce qu'il subsiste de feu mes abdominaux...) étant d'engloutir – à moi seul (mais il ne faut pas le dire...) – la fabuleuse « Cheese Deep Dish » de Giordano's (et si vous me balancez à mon nutritionniste je vous tue ! ).

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OUPS ! J'AI FAILLI OUBLIER ! :
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Je me suis très récemment fait tirer les oreilles pour n’être plus présent sur les réseaux sociaux depuis le 8 janvier 2025 ; autant donc profiter de cette tribune pour vous en expliquer les raisons et faire un point précis à ce sujet :

C'est le Le 23 août 2016 que j’ai décidé de quitter Facebook sur lequel j’avais pourtant deux comptes dénombrant plusieurs milliers d'« ami(e)s » (que pour la plupart je ne connaissais du reste « ni des lèvres, ni des dents »...). Ma décision a été motivée par des expériences profondément choquantes puisque – contre ma volonté – Facebook m'y a à plusieurs reprises imposé des vidéos insoutenables se lançant automatiquement sur mon fil d’actualité sans que je les aie sollicitées ou jamais recherchées.
Ces vidéos montraient des scènes d’une violence inouïe dont entre autres :
★ Celle d'un jeune chat projeté à moult reprises contre un mur par des adolescents jusqu’à ce qu’il succombe ;
★ Celle d'un chaton de quelques jours passé dans un mixer par un courageux ayant pris soin de cacher son visage ;
★ Celle de l’exécution d’un homme par un cartel mexicain dont l’égorgement était filmé en gros plan afin qu'on l'entende se noyer dans son propre sang envahissant ses poumons ;
★ Celle de prisonniers occidentaux aux mains ligotées dans le dos et aux chevilles attachées, agenouillés dans le désert en combinaisons oranges, se faisant décapiter un à un par un groupe extrémiste exhibant à l’issue fièrement leurs têtes tenues par les cheveux comme des trophées ;
★ Celle d'une chienne et de ses chiots, enfermés dans une cage métallique, aspergés d’essence puis brûlés vifs par de jeunes cons se réjouissant de leur intelligence ;
★ Etc...
Ces contenus, visionnés bien malgré moi en l’espace de dix jours à peine, m’ont évidemment profondément choqué (en tout état de cause suffisamment pour que je m’en souvienne encore aujourd’hui) et j’avais à l’époque immédiatement signalé ces vidéos à Facebook en dénonçant leur caractère aussi barbare qu’insupportable et inacceptable. La réponse de la plateforme fut néanmoins glaçante puisque – pour reprendre ses propres termes – elle ne considérait PAS ces contenus (imposés par leur algorithme ne visant qu'à générer de l'audience pour écouler leurs publications sponsorisées en aval ou en amont de leurs saloperies) comme « contraires aux standards de la communauté »...
Cette réponse m’a épouvanté, et d’autant plus sidéré qu’un photographe de mes amis avait été banni quelques jours auparavant pour avoir commis le crime (...) de publier une photo artistique dévoilant très partiellement un mamelon.
Cette incohérence flagrante visant à tolérer des actes d’une barbarie extrême pour s'assurer des revenus publicitaires tout en censurant des contenus artistiques m’ayant définitivement convaincu de l’hypocrisie de Facebook, j’ai immédiatement clôturé mes comptes de cette plateforme ; écœuré par sa politique axée sur un voyeurisme malsain générateur d'une audience fort lucrative au détriment de toute éthique.
Ainsi s'est clos le chapitre Facebook puisque, restant fidèle à ma décision, je n’y ai depuis jamais remis les pieds.

J’ai rejoint Twitter (aujourd’hui « X ») en septembre 2013, mais mon activité n’y fut que brève puisque mon unique « tweet » date du 14 décembre 2014. J’ai en effet très vite cessé de consulter cette plateforme, exaspéré par ce que j’y trouvais lors de chacune de mes connexions ; à savoir :
★ Des commentaires insultants non modérés, des menaces, des diffamations ; des propos ahurissants laissés par des utilisateurs s’acharnant sur d’autres comme des hyènes bien planquées derrière l'anonymat de leurs écrans ;
★ Une avalanche de fake news, des plus pitoyables aux plus dangereuses, partagées et relayées des centaines voire des milliers de fois sans le moindre contrôle, ni sans que cela semble moindrement gêner cette plateforme préférant honteusement profiter de ces mannes providentielles génératrices d'un traffic conséquent plutôt que de sérieusement informer ses utilisateurs ;
★ Des sollicitations incessantes d’escorts habitant fabuleusement toute « dans ma région » (...), ou d'autres de brouteurs abidjanais semblant à l’évidence penser que j’avais un Q.I. de bigorneau ;
★ Etc...
Le déclin de ce réseau s’est confirmé au fil des années puisqu’en janvier 2021 – après l’assaut du Capitole – le compte d'un certain Donald en avait été banni (décision justifiée au vu de la gravité de ces événements inqualifiables), avant que son nouveau PDG – Elon Musk, ayant acquis Twitter en octobre 2022 pour 44 milliards de dollars – revienne curieusement (...) sur la décision des anciens dirigeants de Twitter et réactive son compte un mois plus tard, en novembre 2022.
Mieux encore, en 2024, ce même PDG a offert (comptant sur un retour sur investissement autrement plus conséquent...) 200 millions de dollars pour financer une partie de la campagne présidentielle de celui que Twitter avait banni 3 ans plus tôt ; et, en 2025, a été nommé – par son nouveau fiancé aux implants jaunes/orangés (dont la liste des affaires auxquelles il a échappé en se faisant réélire bat pour le moins les records...) – à un poste clé au sein du gouvernement pour prendre la tête du « Département américain de l’efficacité gouvernementale »…
Avec une telle trajectoire je ne regrette nullement d'avoir sciemment laissé mon compte Twitter en sommeil puisque, bien que brillant (technologiquement parlant avec Tesla et SpaceX), Elon Musk n’est à mon sens qu’un combinard calculateur et manipulateur, avide d'argent et de pouvoir, se moquant ouvertement des conséquences de ses actions sur le Monde tant qu'elles sont au profit de sa petite personne, de ses ambitions, et de son portefeuille.

J’ai ouvert mon compte Instagram en octobre 2011, mais – ayant un boulot titanesque et pas assez de 24 heures dans une journée pour faire 30% de ce qu'il m'incombait d'effectuer – ce n’est qu’en 2018 que j’ai commencé à l’utiliser après avoir quitté Facebook deux ans plus tôt.
Peu sont ceux qui s'en souviennent mais le nom « Instagram » vient de la contraction de « instamatic » et de « telegram » ; Kevin Systrom et Mike Krieger, fondateurs originels du site, avaient en effet décidé de créer une plateforme essentiellement axée sur le partage photographique. En dépit du fait qu'Instagram ait été rachetée par Meta (anciennement Facebook Inc., appartenant à Zuckerberg) et que je n'étais pas particulièrement ravi de mon expérience calamiteuse vécue sur son autre réseau, j'ai néanmoins tenté le coup de voir ce qu'Instagram avait à potentiellement m'offrir.
À l’époque Instagram était encore un espace plaisant et relativement épuré. J’y retrouvais des amis perdus de vue, renouais avec des connaissances éloignées et faisais la découverte de personnes enrichissantes humainement parlant. J’y appréciais la simplicité du partage de photos dont celles de certaines de mes escapades maritimes, ainsi que les interactions chaleureuses qui pouvaient en découler. Bien que je n’aie jamais été un utilisateur très assidu j’aimais suivre l’activité de mes amis et explorer les contenus partagés par la petite communauté que nous formions.
Mais, au fil du temps, l’atmosphère d’Instagram a radicalement changé puisque la plateforme s’est insidieusement transformée en une véritable usine publicitaire en noyant peu à peu les interactions authentiques sous un flot d’annonces et de contenus sponsorisés (là encore peu sont ceux qui s'en souviennent mais à ses débuts Instagram ne diffusait que très peu de publicités et n'avait – par choix – que des annonceurs premium tels que Lacoste, Air France, Guerlain, etc.).
★ En 2022, des publicités de plus en plus débiles avaient déjà envahi mon fil d’actualité, apparaissant en moyenne toutes les cinq ou six publications ; ces intrusions étaient agaçantes mais restaient néanmoins à-peu-près tolérables.
★ En 2024, toutefois, la fréquence avait doublé : une publicité nulle ou un contenu sponsorisé stupide apparaissait toutes les trois publications, et ce rythme effréné de sollicitations publicitaires commençait déjà à rendre mon expérience de navigation sur ce réseau particulièrement désagréable.
★ Et puis est arrivé ce fameux 8 janvier 2025, où, voulant publier la photo d 'un lever de soleil que je venais de prendre au large des côtes de Porto-Rico, je me suis connecté à Instagram pour y constater que ce que je redoutais depuis longtemps venait d'arriver : sur les 86 publications sur lesquelles j'ai « swipé » seules trois provenaient de mes amis... Les 83 autres étaient composées de publicités, de suggestions sans intérêt, de « reels » insipides voire carrément niais, ou encore de vidéos d'influenceuses me prodiguant des conseils triviaux visant à m'apprendre l'application du vernis à ongles sur mes orteils ou me vantant les mérites de tel après-shampoing (et avec ma manie de me peinturlurer les doigts de pieds et ma crinière proche de celle d'un galet, il est certain que ça me servira tous les jours...).
★ Mieux encore (si si si, c'est possible...), parmi les 83 publications débiles que le brillant algorithme d'Instagram m'a infligé en ce 8 janvier 2025 pour avoir le privilège d'entrevoir trois de celles de mes amis savamment noyées au milieu de son flot d'inepties, il m'a très concrètement harcelé de publications sponsorisées (fatalement très lucratives) pour des applications à l'évidence développées pour des décérébrés ; dont (entre autres...) :
– Celle d'un réseau de rencontres extra-conjugales discrètes ;
– Celle permettant de mettre à nu (en effaçant ses vêtements) n'importe quel individu pris en photo ;
– Celle d'une « pornstar » dont la première vidéo serait consultable gratuitement ;
– Celle permettant de rhabiller belle-maman (ou n'importe qui) en tenues sexys ou en sous-vêtements ;
– Celles (en nombre délirant...) tentant de me vendre des « petites amies virtuelles » générées par intelligence artificielle, aux formes avantageuses ou « modelables » selon mes goûts, déshabillables à loisir pour « combler mes désirs les plus profonds », à mes ordres et à ma disposition H24 / 7 jours sur 7 pour « tous type de conversations » (...), pouvant même m'envoyer des messages vocaux personnalisés (...) ; semblant tout faire pour me convaincre que je devais me conformer à cette ère de superficialité et de masturbation numérique avec une « A.I. Girlfriend » afin de ne pas devenir has been...
Bref ; vendez un restaurant étoilé (tel que l'était Instagram il fut un temps) à un vulgaire marchand de burgers et il aura tôt fait de le transformer en un pitoyable cloaque ; et ce réseau initialement de partage photographique que j'appréciais auparavant finissait devant moi de se métamorphoser en un fils « spirituel » (...) de Facebook et de TikTok (autrement dit le plus moisi de ce qui se fait à mes yeux...) sous l'impulsion de son richissime propriétaire n'ayant aucun scrupule à me contraindre à avaler SA merde pour se faire quelques dollars de plus sur MON temps pris en otage ce matin-là.









Mais ça n'est hélas pas tout puisque c’est curieusement (ou peut-être pas du reste...) précisément ce même 8 janvier 2025, qu’avec un cynisme déconcertant Adam Mosseri (à la tête d’Instagram) et Mark Zuckerberg (PDG de Meta à qui appartient Instagram) ont annoncé, par le biais de vidéos publiées sur leurs comptes, qu’ils abandonnaient leur programme de vérification des faits (aussi appelé « fact checkers », permettant jusqu'alors à leurs utilisateurs les plus crédules de distinguer une fake news d’une information réelle) en invoquant leur subite « défense de la liberté d’expression »…
En réalité cette décision – prise sous l’influence et l'impulsion de leur nouveau meilleur pote du club des milliardaires (autrement dit un échevelé peroxydé comptabilisant – selon le Washington Post – pas moins de 30.573 mensonges durant les 4 années de son dernier mandat, et qui, compte tenu de ses affaires en cours, aurait dû finir en prison s’il n’avait pas été réélu président des États-Unis) – ne fait qu’ouvrir grand les portes au pire du pire d'Internet ; à pléthore de nouvelles fake news auxquelles les plus vulnérables croiront puisqu'« ils l'ont lu sur Internet » (...) ; à une flopée de manipulations et à moult incitations à la haine dont personne n'a besoin en cette époque déjà trop troublée... C'est donc ainsi que les dirigeants d'Instagram ont entériné que leur plateforme – autrefois dédiée au partage et à la créativité – se muait à son tour en un outil de désinformation au service d’intérêts politiques et/ou privés suivant l'odieux modèle déjà établi par Twitter.
Face à ces constats j’ai pris la décision de supprimer l'application d'Instagram de mon téléphone ce matin-là, puisqu’en observant le paysage numérique actuel il m’est apparu que ces réseaux sociaux n’avaient plus de « social » que le nom, qu'ils ne sont devenus que des instruments de propagande et de « brain rot » (ou de « pourrissement cérébral » en français dans le texte...) afin d'enrichir encore plus grassement une poignée de milliardaires manipulant les masses pour servir leurs ambitions politiques et personnelles.
En ce 8 janvier 2025 j’ai donc définitivement tourné la page d’Instagram puisque – en prime de littéralement m'inonder de publications inutilement chronophages pour adolescents prépubères au détriment de celles de mes amis – ce réseau ne reflète plus les valeurs d’échange et de partage qu’il prétendait incarner à ses débuts.
N'ayant jamais signé pour « ça » (...) ce sera dorénavant donc un Instagram sans moi ; sujet clos.

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Voilà les jeunes (ou jeunes – comme moi – depuis un plus plus longtemps que d’autres...) ; ma décision de quitter le dernier réseau que j’utilisais encore n’a rien à voir avec qui que ce soit d’entre vous ; mais… ayant encore quelques principes et quelques valeurs, ce que deviennent toutes ces plateformes touchant chaque jour davantage le fond que la veille ne me correspond plus du tout ; j’espère que vous le comprendrez et ne m’en tiendrez pas rigueur.
Je n’ai jamais rien eu à vendre sur aucun de ces réseaux, pas même moi, ni mon ego. Ma vie est suffisamment riche pour n’avoir besoin ni de filtres ni de « hashtags » ; elle est suffisamment pleine pour que je n’ai nul besoin d’essayer de plaire à des algorithmes dans l’espoir qu'ils m'autorisent à accumuler des « likes » comme on distribue des bons points ; elle m'appartient suffisamment pour ne pas éprouver l'impérieuse nécessité de l'exposer afin que deux guignols remplissent leurs poches sur mon dos ; elle est infiniment trop courte pour que je m'offre le luxe stupide d'accepter que des réseaux me contraignent à perdre plus de temps à « swiper » parmi pléthore de publicités et de publications imposées boueuses qu'ils m'autorisent maintenant à en passer sur vos propres publications n'émergeant qu'aléatoirement des filtres de ces usines à caca ; elle est suffisamment respectueuse de l'environnement pour trouver superflu de continuer à faire chauffer leurs serveurs contribuant – pour rien – à transformer notre planète en marmite ; et, surtout, elle est empreinte de suffisamment d’intégrité pour que je puisse encore contribuer à l'essor de réseaux détenus par les frères Rapetou reléguant sciemment la vérité au second plan, ayant prêté allégeance au roi ̶d̶u̶ ̶m̶o̶n̶d̶e̶ ̶ de l'intox, et privilégiant davantage leurs intérêts politiques / personnels / et financiers que la responsabilité qu’ils ont envers leurs milliards d’utilisateurs.
Soyons lucides, la fortune personnelle d'Elon Musk est estimée en janvier 2025 (au moment où je boucle ces lignes donc) à 422,7 milliards de dollars, et celle de Mark Zuckerberg à 223,6 milliards ; alors évidemment mon abandon de leurs réseaux miteux monétisant notre temps ne génèrera pas un trou très conséquent dans leurs portefeuilles mais... j'aime pouvoir sereinement me regarder dans la glace en me rasant chaque matin, et ça... pour moi... ça vaut tous les milliards du monde.
Bien sûr vous me manquerez, mais quand une piscine se transforme en fosse à purin il est temps d'en sortir ; et puis... certains d’entre vous savent comment me joindre alors… on ne se quitte pas tout à fait... 😉

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