Je suis né à Kalamata dans le sud du Peloponese en 1969, j’ai grandi dans cette ville et je l'aime beaucoup. On a gagné Athènes à 10 ans. Durant mes années de lycée, j'ai été à l'avant-garde des études secondaires (socialistes), avec la première génération d'un Lycée Pluridisciplinaire. Ma participation dans le concours du baccalauréat pan-hellénique réduit mon temps, mes rêves, enfin reconduit par les mauvaises notes en étudiant des maths, à Patras et prêt pour une carrière, échoué du debout. Heureusement, pas pu résister, j'ai appris le français et je suis parti à Paris pour devenir architecte. Ainsi, en 1990, j'étais là pour étudier l'art de « Oikodomein ». Et du nord de l’Europe, se rendre en visite au Caire, pour réaliser les importantes questions de survie de notre planète, puis à Athènes contre la nécessité d'une réconciliation totale. Réconcilié avec la réalité grecque moderne, mon patron, les clients, même les Jeux Olympiques pour lesquels nous avons beaucoup travaillé avec ma femme Penny Valsamidou.

Je suis venu aujourd'hui à être réconcilié avec mes collègues, ma famille, mes propres clients et tout ce que je trouve moi-même miséreux et pénible dans la vie quotidienne. Réconcilié aussi avec ce que Manos Hadjidakis me disait souvent, même avant l'âge adulte: que je ne serais jamais en mesure d'exprimer la majorité de ma génération, même si je l’assaillerais.