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The top five emerging Blockchain technology trends to follow in 2021 are as follows:

 

1. BaaS – Blockchain-as-a-Service

2. VC & SSI – Verifiable Credential & Self Sovereign Identity (Universal Identity)

3. DeFi – Decentralized Finance

4. NFT – Non-Fungible Tokens

5. CBDC – Central Bank Digital Currency

 

This image is brought to you by Antino Labs which provides tech consulting services.

 

Cameron Brown's "Danny's Calypso Band" with Russ Johnson, Lisa Parrott, Jason Rigby, and Tony Jefferson - University of the Streets, 08-02-11

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Cameron Brown's "Danny's Calypso Band" with Russ Johnson, Lisa Parrott, Jason Rigby, and Tony Jefferson - University of the Streets, 08-02-11

Cameron Brown's "Danny's Calypso Band" with Russ Johnson, Lisa Parrott, Jason Rigby, and Tony Jefferson - University of the Streets, 08-02-11

An OIAR document states the vaccine certificate system is a stepping stone to the Digital Identity Trust Framework Bill , which "allows the control of our banking system."

 

CBDC's is one method which a government could control how people spend their money is if it becomes 'programmable' .

 

The Reserve Bank of NZ is currently working on a proof of concept for a CBDC in NZ . If their proof of concept has the ability to program the CBDC's…

 

Would the average kiwi want the central bank/government to have control over:

 

Whom they can purchase from?What geographical areas they are allowed to buy items from?How often they can purchase an item?What quantity of an item they can purchase?What items they can & cannot buy?

 

Sources: OIAR Vaccine Pass OIAR Transmission/Digital ID Digital ID Bill JRE - Maajid Nawaz Telegraph CBDC Article Yahoo Finance NZ CBDC

 

lorphicweb.com/nz-covid-vaccine-pass-leads-to-government-...

بانک مرکزی هند در ماه دسامبر آزمایشی CBDC خرده فروشی را راه اندازی می کند

بانک مرکزی هند در ماه دسامبر آزمایشی CBDC خرده فروشی را راه اندازی می کند.روپیه دیجیتال به عنوان مکملی برای سیستم پرداخت فعلی و نه جایگزین آن در نظر گرفته شده است. پس از آزمایش استفاده عمده از ارز دیجیتال بانک مرکزی خود (CBDC)، بانک مرکزی هند (RBI) در حال آماده شدن برای اجرای آزمایشی خرده فروشی "روپیه دیجیتال" است. خلبان باید ظرف یک ماه راه اندازی شود. به گزارش اکونومیک تایمز هند، RBI در مرحله نهایی آماده سازی عرضه آزمایشی روپیه دیجیتال خرده فروشی است. از میان شرکت کنندگان می توان به بانک دولتی هند، بانک بارودا، بانک ICICI، بانک اتحادیه هند، بانک HDFC، بانک کوتاک ماهیندرا، بانک بله و بانک اول IDFC اشاره کرد. بنا به گزارش ها، قرار است در مقطعی پایلوت شامل تمامی بانک های تجاری کشور شود. هر بانک شرکت کننده در آزمایش، CBDC را بین 10000 تا 50000 کاربر آزمایش خواهد کرد. برای ادغام گزینه پرداخت جدید، بانک ها با پلتفرم های PayNearby و Bankit همکاری خواهند کرد. زیرساخت CBDC توسط شرکت ملی پرداخت هند (NPCI) نگهداری خواهد شد. همانطور که منبع ناشناس به خبرنگاران هندی تصریح کرد: «روپیه الکترونیکی در یک کیف پول ذخیره می‌شود، اسکناس‌ها طبق درخواست مشتری در دسترس خواهند بود، درست مانند درخواست پول نقد از دستگاه خودپرداز. بانک‌ها این را فقط در شهرهای منتخب راه‌اندازی می‌کنند.» مرتبط: مقررات کریپتو یکی از 8 اولویت برنامه ریزی شده تحت ریاست G20 هند است - وزیر دارایی هم مشتریان و هم بازرگانان باید کیف پول‌های ویژه CBDC را دانلود کنند، اگرچه بعداً RBI قصد دارد آن را به طور کامل با خدمات بانکداری دیجیتال موجود ادغام کند.

 

arzweb.com/the-reserve-bank-of-india-to-launch-a-retail-c...

Mes chers lecteurs,

 

Je pense avec certitude que l’émergence du Bitcoin au tournant de la décennie 2010 constitue un phénomène singulier dans l’histoire économique et technologique. Né dans les limbes du cyberespace, fruit d’une convergence d’idées issues de la cryptographie, de la philosophie cyberpunk et d’une méfiance grandissante envers les systèmes financiers centralisés, il a proposé une réponse radicale au problème de la confiance dans les transactions numériques. Avant Bitcoin, toute tentative de monnaie électronique pair-à-pair butait sur la nécessité d’une autorité centrale pour prévenir la « double dépense » — la capacité de dépenser la même unité monétaire plus d’une fois. Satoshi Nakamoto, pseudonyme de l’individu ou du groupe à l’origine du projet, a résolu cet écueil en concevant un registre public et distribué, la blockchain, validé par un réseau de participants (les mineurs) utilisant la preuve de travail. Cette innovation a rendu possible, pour la première fois, une forme de rareté numérique intrinsèque et vérifiable sans l’intervention d’un tiers de confiance.

 

Le document fondateur, publié le 31 octobre 2008 sous le titre évocateur « Bitcoin: A Peer-to-Peer Electronic Cash System », décrivait avec une concision remarquable les mécanismes de ce système novateur. Il posait les bases d’un protocole de communication, d’une structure de données (la chaîne de blocs) et d’un mécanisme incitatif (le minage et la récompense en bitcoins) permettant de construire un consensus décentralisé sur l’état du registre. Le 3 janvier 2009, le réseau Bitcoin était officiellement lancé avec la création du bloc de genèse. Ce bloc portait en lui, gravé à jamais, le titre du Times du jour, « Chancellor on brink of second bailout for banks », un message à la fois acte de naissance technique et déclaration politique subtile, soulignant le contraste entre la fragilité perçue du système bancaire traditionnel et la robustesse promises par une monnaie émise et gérée de manière algorithmique. Les premiers utilisateurs furent une poignée de passionnés, principalement des cryptographes, des programmeurs et des individus partageant une vision du monde où la technologie pouvait émanciper l’individu du contrôle étatique et corporatiste. L’activité sur le réseau était alors minimale, le minage accessible à quiconque disposant d’un ordinateur standard, et la valeur monétaire du bitcoin, mesurée en monnaie fiduciaire, demeurait insignifiante, relevant davantage de l’expérience conceptuelle que de l’investissement financier.

 

La première transaction documentée impliquant une valeur économique tangible eut lieu en mai 2010, lorsque Laszlo Hanyecz, un développeur, accepta de payer 10 000 bitcoins pour deux pizzas, un événement aujourd’hui célébré annuellement et qui illustre de façon saisissante le chemin parcouru par la valorisation de cet actif. Ces premiers échanges étaient embryonnaires, souvent réalisés sur des forums en ligne ou de gré à gré, reflétant l’absence d’infrastructures dédiées.

 

Pourtant, malgré son caractère expérimental et sa niche d’utilisateurs initiale, l’idée commença à germer. Des plateformes d’échange rudimentaires virent le jour, permettant de troquer des bitcoins contre des dollars ou d’autres monnaies. La volatilité était le maître mot, le prix du bitcoin fluctuant de manière erratique, passant de quelques centimes à plusieurs dollars, puis subissant des chutes vertigineuses. L’écosystème était fragile, les portefeuilles numériques peu sécurisés, et les risques de perte de fonds élevés, qu’il s’agisse d’erreurs humaines, de défaillances logicielles ou d’activités malveillantes.

 

I. Les Premiers Pas et la Crise de Maturité

L’un des épisodes les plus sombres et structurants de l’histoire précoce du Bitcoin fut l’affaire Mt. Gox. Fondée en 2010, cette plateforme d’échange basée au Japon est rapidement devenue la plaque tournante du trading de Bitcoin, gérant à un moment donné la grande majorité des transactions mondiales. Sa position dominante, couplée à des lacunes criantes en matière de sécurité et de gestion interne, en a fait une cible de choix pour les hackers. En 2014, Mt. Gox s’est effondrée, déclarant faillite après la « perte » de centaines de milliers de bitcoins appartenant à ses utilisateurs. Cet événement a constitué un choc majeur pour l’écosystème naissant. Il a non seulement entraîné des pertes financières considérables pour des dizaines de milliers de personnes à travers le monde, mais il a également porté un coup sévère à la réputation du Bitcoin et des cryptomonnaies en général, les associant dans l’esprit du grand public et des régulateurs à la fraude et à l’insécurité.

 

L’onde de choc a été immense, entraînant une chute brutale du prix du Bitcoin et une période de désillusion généralisée. Néanmoins, paradoxalement, la crise de Mt. Gox a également agi comme un catalyseur. Elle a mis en lumière les dangers inhérents à la centralisation des fonds et a renforcé l’importance du principe fondamental du Bitcoin : la souveraineté individuelle sur ses propres clés privées. L’incident a incité les développeurs à renforcer les protocoles de sécurité, a poussé à l’émergence de nouveaux standards pour les plateformes d’échange et les solutions de stockage (comme les portefeuilles matériels), et a stimulé le développement d’un écosystème plus résilient et conscient des risques. L’affaire a également précipité l’intérêt des régulateurs, marquant le début d’un long processus d’examen et de tentative de classification et de supervision de cette nouvelle classe d’actifs.

 

Après le traumatisme de Mt. Gox, l’écosystème Bitcoin a amorcé une phase de reconstruction et de maturation. De nouvelles plateformes d’échange, souvent mieux capitalisées et plus attentives aux exigences de sécurité et de conformité réglementaire, ont émergé. L’intérêt pour la technologie sous-jacente, la blockchain, a commencé à se manifester au-delà de la sphère crypto, attirant l’attention des institutions financières et des entreprises technologiques qui y voyaient un potentiel au-delà de la simple monnaie numérique. Des outils de développement et des ressources éducatives ont été créés, rendant l’accès et la compréhension du Bitcoin plus aisés.

 

II. L’Éveil Réglementaire et les Débats Techniques

À mesure que le Bitcoin gagnait en visibilité et en utilisateurs, il est devenu impossible pour les gouvernements et les institutions financières de l’ignorer. Les réponses réglementaires ont été fragmentées et évolutives, reflétant l’incertitude quant à la nature juridique et économique du Bitcoin. Certains pays ont opté pour une approche restrictive, voire une interdiction pure et simple, craignant son utilisation potentielle pour le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme ou l’évasion fiscale. D’autres ont commencé à élaborer des cadres réglementaires spécifiques, tentant de trouver un équilibre entre la protection des consommateurs, la lutte contre les activités illicites et la promotion de l’innovation. Aux États-Unis, par exemple, diverses agences ont émis des avis et des règles, considérant le Bitcoin tantôt comme une marchandise, tantôt comme une monnaie, selon le contexte. En Europe, les directives anti-blanchiment ont été progressivement étendues pour inclure les prestataires de services liés aux cryptomonnaies. La question de la taxation des gains issus des transactions en Bitcoin est également devenue une préoccupation majeure pour les autorités fiscales du monde entier. Le caractère décentralisé et transfrontalier du Bitcoin pose des défis considérables aux cadres réglementaires nationaux, alimentant un débat permanent sur la manière la plus appropriée de superviser cet espace sans étouffer l’innovation.

 

Parallèlement aux défis réglementaires, le Bitcoin a également été confronté à des défis techniques inhérents à sa conception initiale, notamment en matière d’évolutivité. La limite de taille des blocs de la blockchain Bitcoin a entraîné, avec l’augmentation du nombre d’utilisateurs et de transactions, une congestion du réseau et une hausse significative des frais de transaction, rendant les petits paiements peu pratiques et coûteux. Cette problématique a donné lieu à un débat intense et passionné au sein de la communauté, connu sous le nom de « Blocksize War », opposant différentes visions de l’avenir du protocole. D’un côté, les partisans d’une augmentation de la taille des blocs pour permettre plus de transactions directement sur la chaîne principale ; de l’autre, ceux qui privilégiaient des solutions de mise à l’échelle « hors chaîne », arguant que l’augmentation de la taille des blocs compromettrait la décentralisation en rendant l’exploitation d’un nœud complet plus coûteuse et gourmande en ressources. Ce débat a culminé en 2017 avec une scission, ou « hard fork », donnant naissance à Bitcoin Cash (BCH), une version du protocole avec une taille de bloc augmentée. Cependant, le Bitcoin (BTC) principal a poursuivi son développement en se concentrant sur des solutions de seconde couche comme le Lightning Network, conçu pour permettre des transactions rapides et à faible coût en dehors de la chaîne principale, ne s’y reconnectant que périodiquement pour le règlement final. L’implémentation de Segregated Witness (SegWit) en 2017 a également constitué une avancée technique majeure, optimisant l’espace de bloc et ouvrant la voie à de nouvelles fonctionnalités. Ces développements illustrent la nature dynamique du protocole Bitcoin, fruit d’un processus continu d’amélioration et d’adaptation mené par une communauté de développeurs distribuée.

 

III. Vers l’Institutionnalisation et les Perspectives d’Avenir

Permettez moi de remarquer que l’histoire récente du Bitcoin est marquée par une volatilité persistante, mais également par une tendance de fond vers une reconnaissance et une adoption croissantes par des acteurs institutionnels. Les cycles de « boom » et de « bust » se sont succédé, avec des hausses de prix paraboliques attirant l’attention du grand public et des médias, suivies de corrections brutales épurant l’excès de spéculation. Le pic de fin 2017, où le prix a frôlé les 20 000 dollars, a été suivi d’un « hiver crypto » prolongé. Cependant, le Bitcoin a démontré une résilience remarquable, parvenant à se remettre de ces baisses pour atteindre de nouveaux sommets par la suite.

 

L’intérêt institutionnel a considérablement augmenté ces dernières années. Des gestionnaires d’actifs, des fonds spéculatifs, et même des entreprises cotées en bourse ont commencé à considérer le Bitcoin comme une classe d’actifs légitime. L’introduction de produits financiers réglementés, tels que les contrats à terme sur Bitcoin et, plus récemment, les ETF Bitcoin au comptant dans des juridictions majeures, a ouvert les portes de l’investissement en Bitcoin à une base d’investisseurs traditionnels beaucoup plus large, contournant certaines des complexités techniques liées à la gestion directe de l’actif. Cette institutionnalisation progressive a contribué à renforcer le récit du Bitcoin en tant que « réserve de valeur numérique », ou « or numérique », une protection potentielle contre l’inflation et l’incertitude économique dans un contexte de politiques monétaires non conventionnelles menées par les banques centrales.

 

Les débats sur la place du Bitcoin dans le système financier et économique mondial sont loin d’être clos. Est-il destiné à devenir une monnaie de transaction globale, une réserve de valeur uniquement, ou simplement un actif spéculatif parmi d’autres ? Comment concilier son caractère décentralisé avec les exigences des régulateurs et des systèmes financiers traditionnels ? Quel sera l’impact à long terme de son adoption croissante sur la politique monétaire, la stabilité financière et la souveraineté des États ? Les préoccupations environnementales liées au minage, bien que de plus en plus atténuées par l’utilisation d’énergies renouvelables et l’optimisation des processus, restent un sujet de débat.

 

L’analyse de l’évolution du Bitcoin, de son concept initial à son statut actuel, révèle une histoire complexe de disruption technologique, d’expérimentation sociale, de défis réglementaires et de maturation progressive. Alors que nous nous tournons vers l’avenir, de nombreuses questions fondamentales émergent. Comment la tension inhérente entre la décentralisation du Bitcoin et les forces de centralisation à l’œuvre dans l’économie mondiale se résoudra-t-elle ? L’innovation continue au niveau du protocole et des couches supérieures permettra-t-elle de surmonter les défis persistants en matière d’évolutivité et d’expérience utilisateur pour une adoption de masse ? Quel rôle les monnaies numériques de banque centrale (CBDC) et autres formes de monnaie numérique joueront-elles aux côtés de Bitcoin et des autres cryptomonnaies privées ? Les implications potentielles du Bitcoin sur la nature même de la monnaie, la structure du pouvoir financier et la relation entre l’individu et l’État sont vastes et méritent une exploration continue, invitant à des recherches et des analyses approfondies sur les conséquences à long terme de cette expérience monétaire sans précédent.

 

À très bientot,

 

(www.t-lex.associates/un-nouveau-paradigme-dans-lhistoire-...)

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POSTPONED NEW PM/IRAQ-RISING IN DAVOS/IRAQS-NEW AIR DEFENSE/BOE CBDC INTERNATIONAL GROUP

For more details:https://dinartimes.com/postponed-new-pm-iraq-rising-in-davos-iraqs-new-air-defense-boe-cbdc-international-group/

The recent emergence of Central Bank Digital Currency (CBDC for short) is no longer a fringe discussion point, but drives a number of serious questions in the mainstream with Central Banks globally. To know more visit here: www.blog.xar.network/central-bank-digital-currency/

Representante do Banco Bradesco - patrocinador, negociado pela SSTUDIO Marketing & Entretenimento.

Jason Rigby, Russ Johnson, Lisa Parrott (Cameron Brown's "Danny's Calypso Band" with Russ Johnson, Lisa Parrott, Jason Rigby, and Tony Jefferson) - University of the Streets, 08-02-11

Cameron Brown, Tony Jefferson (Cameron Brown's "Danny's Calypso Band" with Russ Johnson, Lisa Parrott, Jason Rigby, and Tony Jefferson) - University of the Streets, 08-02-11

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