DSC_1595
Les idées courbes,
Bien triste que la pensée commune,
Ton visage se damne peu à peu
Au sein d’une nimbe d’infortune,
Et là mon ami, tu crois être heureux.
Ta personne n’est plus singulière,
Avec les autres, tu tournes en rond,
Ta raison repose coutumière,
Dans une vie vide, proche des bas-fonds.
La société est un nœud de vipères,
Tout un chacun tranche de ses crochets,
Ta liberté vite s’éviscère,
Tu perds tout ton sens sans nul procès.
Mon ami, s’il te reste de la force,
Ferme la porte, deviens ce que tu es,
Deviens un animal féroce,
Libre, d’un esprit plus jamais muet.
Michaël Overberg
DSC_1595
Les idées courbes,
Bien triste que la pensée commune,
Ton visage se damne peu à peu
Au sein d’une nimbe d’infortune,
Et là mon ami, tu crois être heureux.
Ta personne n’est plus singulière,
Avec les autres, tu tournes en rond,
Ta raison repose coutumière,
Dans une vie vide, proche des bas-fonds.
La société est un nœud de vipères,
Tout un chacun tranche de ses crochets,
Ta liberté vite s’éviscère,
Tu perds tout ton sens sans nul procès.
Mon ami, s’il te reste de la force,
Ferme la porte, deviens ce que tu es,
Deviens un animal féroce,
Libre, d’un esprit plus jamais muet.
Michaël Overberg