DSC_2485
Colloqué
Ma vérité a eu raison de moi,
Hier encore, mon être poétisait,
La laideur de ce monde, mon émoi,
Où mon cœur pur et noble croupissait.
Vivre bienheureux dans cette sphère,
De vos diktats est une aporie,
Ma psyché de paix en âcre guerre,
A brisé votre raison pourrie.
Quel triste paradoxe être fou,
Dans une multitude d’êtres insensés,
Comme le rebord du décorum est flou,
Quand nos vies fuient votre pas cadencé.
Aujourd’hui mon corps s’éteint dans vos murs,
Prisonnier de votre camisole,
Mes espoirs de vivre libre s’étiolent,
Au sein de mon âme, ma voix murmure.
Michaël Overberg
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Colloqué
Ma vérité a eu raison de moi,
Hier encore, mon être poétisait,
La laideur de ce monde, mon émoi,
Où mon cœur pur et noble croupissait.
Vivre bienheureux dans cette sphère,
De vos diktats est une aporie,
Ma psyché de paix en âcre guerre,
A brisé votre raison pourrie.
Quel triste paradoxe être fou,
Dans une multitude d’êtres insensés,
Comme le rebord du décorum est flou,
Quand nos vies fuient votre pas cadencé.
Aujourd’hui mon corps s’éteint dans vos murs,
Prisonnier de votre camisole,
Mes espoirs de vivre libre s’étiolent,
Au sein de mon âme, ma voix murmure.
Michaël Overberg